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[Flashback] The Walking Dead - Multijoueurs.

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MessageSujet: [Flashback] The Walking Dead - Multijoueurs. [Flashback] The Walking Dead - Multijoueurs. EmptySam 14 Jan - 16:19

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PROLOGUE


2 janvier 2011



Interférences sur les lignes radios, l’armée a mobilisé toutes les chaînes New-Yorkaises pour un Flash Info. La voix du président des Etat-Unis d’Amérique résonne dans la métropole. « A tous les habitants, je répète, à tous les habitants Américains ou autre citoyens venus d’autres régions. Tous les Civils doivent impérativ.. »Zuuuuiiiiif » se rendre dans la zone la plus proche ! » Il y a de nombreuses coupures, la ligne grésille et devient de moins en moins audible. Les propos du président sont entrecoupés tandis que les force de l’armée prennent place dans chaque ville. « Rejoignez les zones de votre ville/secteur, celles-ci contiennent nourriture et abris, ne prenez que l’ess…Iel ! Ceci n’es pas un exercice ! Je r….ète, ceci n’est pas un exerci…! Un tableau s’affichera sur l’écran géant de votre …eur, ils vous indiquera où aller ! Suivez les forces de l’ordre. Seule l’armée est autorisée à rester dans les secteurs. » La voix du représentant elle-même est apeurée, plus que jamais. Cet homme droit et si sûr de lui tient des propos incertains, ses paroles sont maladroites. Les habitants ne comprennent pas ce qu'il se passe. Les gens ici sont devenus complètement fous, c’est l’anarchie la plus totale dans la ville. Chaque quartier est inondé par la foule qui s’amasse devant les portes des zones protégées mais des gens ne passent pas ! On scan chaque humain franchissant la porte. Même les animaux y passent. On suppose que c’est un virus, une maladie très dangereuse et contagieuse. Que ces zones sont en fait des quarantaines mais aucun verre ou mur n’est présent pour retenir un éventuel virus qui circule dans l’air. Alors la population fait le lien avec les hommes et les femmes qui ont perdu la raison ce fameux jour de janvier. Ces personnes dont la folie les forçait à ronger la peau à coups de dents tous ceux qu’ils pouvaient attraper.







INDICE DE JEU

Voici le premier tour de jeu! Vous êtes à vos occupations, il se peut que vous n'entendez pas les radios et les télévisions. Vous êtes au travail, chez vous, vous vivez une vie normal, votre vie de tout les jours. Dans les rues, dans les usines, dans les banques, bref, vous remarquez le comportement étrange de certain. Des fous se mordent entre eux, d'autres poussent des cris de douleurs atroces. Vous êtes complètement perdus dans tout cela ! Vos postes seront de 10 à 35 lignes ! Favorisez l'action à la longueur de préférence. Si votre texte dépasse, ce n'est pas un drame, mais pour ceux n'ayant pas autant de temps, vous pouvez poster de petites réponses.






INDICE DES GROUPES

-CIVILS - Rien à ajouter.
-DÉVASTATEURS - Votre crise commence à vous prendre.
-GOUVERNEMENT - Peu importe dans quel secteur vous êtes, agent du FBI, Marshall etc... Votre reflex sera d'aider les civils. L'armée et les Marines se chargent du reste.
-IMMUNISÉS - A vous de choisir le moment de votre morsure. En sachant que si l'armée vous grille, vous êtes morts !

Sans ordre de passage. Vous pouvez poster plusieurs réponses. Néanmoins, pas de doubles-postes. Prenez les postes des autres en compte ! A vous de jouer maintenant. Et si vous avez des questions, adressez-vous aux administrateurs !

PARTICIPANTS :

Aidrian E. Calagan
Severin L. Sloan
Adèle A. Porter
Charlie Keegan
Evelyn R. Maclaine
William S. Calagan
Edward Wood
Isabella Clark


Dernière édition par Master Of Weapons le Dim 22 Jan - 9:40, édité 9 fois
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Adèle A. Porter
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MessageSujet: Re: [Flashback] The Walking Dead - Multijoueurs. [Flashback] The Walking Dead - Multijoueurs. EmptyDim 15 Jan - 13:17

    C'est en protégeant ces hommes qui nous gouvernent que Adèle avait compris que quelque chose ne tournait pas rond dans le monde. Avide d'argent, de succès, de pouvoir ils ne pensaient même plus aux habitants et à leur bien-être. Lorsque ce matin-là, la sonnerie de portable retentit, elle ne savait pas à quoi elle devait s'attendre. C'était Théo : « Adèle ramène tes fesses à l'ambassade française ! -Quoi qu'est-ce qui ce passe ?
    -BOUGE-TOI ! Ramène tes armes et tout ce qu'on à dans l'appart en nourriture, boissons bref fait un sac pour nous deux pour survivre. Un officier vient te chercher. »

    Il raccrocha, sans tarder Adèle sortie les caisses à grenade de son père et mit tout ce dont Theo avait besoin. Légèrement paniquée, n'ayant jamais entendu son frère dans cet état : elle se doutait que c'était grave. Un gang qui aurait fait une descente ? Peut-être. Dans un sac militaire elle mit de la bouffe, de la boisson puis elle alla enfiler un jeans, un pull-over et sa doudoune. La plaque sur sa ceinture, son gilet avec un pistolet et son magnum sous son manteau, elle sortie de l'appartement en courant. Une voiture de police l'attendait : un débriefing lui permit de comprendre que c'était un code rouge : « Le président et le responsable de la sécurité intérieur nous ont convoqués à l'ambassade de France qui est hors du secteur « contaminé. » Je n'en sais pas plus mais on demande à tout les agents de venir, on dit que votre frère et vous êtes les meilleurs de l'unité anti-gang, que vous revenez de loin. -Je ne reviens pas de loin, je viens du Texas. » Plus un bruit dans la voiture qui se gara sur le parking enfin comme elle pouvait, les rues étaient calmes, trop calme. Adèle descendit de la voiture en portant les caisses à grenades ainsi que le sac malgré l'insistance de l'officier pour l'aider. Elle n'avait pas besoin d'aide, elle voulait juste qu'on la laisse tranquille tant que son frère ne l'avait pas rassuré. A peine rentré, Theo vient à sa rencontre pour lui prendre le sac et sa la main avant de la pousser dans l'ascenseur. Il rentra un code pour monter tout en haut :

    « Que ce passe-t-il Theo ? -Je ne sais pas, vraiment pas mais pour qu'on soit convoqué je m'attends au pire. On à demander à notre unité de venir pour surveiller les gangs, pour ne pas qu'il prenne possession des camps de réfugiés. -Des camps de quoi ? -Je ne sais pas, je répète ce que le chef m'a dit. » Arrivés en haut, ils sortirent de l'ascenseur pour rentrer dans une pièce gardée par des agents. A peine rentré, ils s'assirent et écoutèrent le résumé de leur chef qui au fond n'en savait pas plus qu'eux : « … vous devez protéger la population des gangs, durant une situation de panique il est évident qu'ils vont essayer de prendre le pouvoir. Votre mission est de les garder le plus loin possible des camps de réfugiés. Si vous ratez : nous ne pourrons plus les arrêter. Il ne faut surtout pas qu'ils puissent s'infiltrer parmi la population pour les rallier à leur cause et dans le pire des cas les monter contre nous. J'ai fait appel à vous car vous pouvez reconnaître tout les membres des gangs de cette ville, vous savez quoi faire alors faites le. Vous avez carte blanche, tuez si nécessaire. Bonne chance à vous. »

    Tout le monde se leva, Theo et elle descendirent en bas avec les hommes de leur unité. « Restons ensemble, nous ne devons pas être seul. -Repartissez-vous les provisions et les trousses de premiers secours. -Mettez vos gilets par balle, chargez vos armes. » Adèle et Théo gardèrent pour eux leurs provisions et complétèrent avec celles proposées par le gouvernement. Les trousses de premier secours dans leur sac, ils partirent tous ensemble avec un Fusil d'Assault chargé, des grenades et des gilets par balle. Le visage d'Adèle s'était fermée : elle allait tuer du gang et elle allait adorer ! Son but ? Trouver les salauds qui l'avaient blessés. « Vous vous dirigerez vers les zones en rouges, votre unité s'occupera de ce refuge ainsi que celui-la étant donné que c'est dans cette zone là qu'ils risquent d'attaquer. »

    Par la suite deux groupe se forma : les jumeaux ne furent pas séparés heureusement. Par la suite, ils se dirigèrent -dans un silence de mort pour se concentrer- vers les zones entourés en rouge. Ils allumèrent la radio pour détendre l'atmosphère, c'est à ce moment qu'ils ont entendu l'appel du président : « A tous les habitants, je répète, à tous les habitants américains ou autres citoyens venus d’autres régions. Tous les civils doivent impérativ.. » Zuuuuiiiiif « se rendre dans la zone la plus proche ! » Il y a de nombreuses coupures, la ligne grésille et devient de moins en moins audible. Les propos du président sont entrecoupés tandis que les force de l’armée prennent place dans chaque ville. « Rejoignez les zones de votre ville/secteur, celles-ci contiennent nourriture et abris, ne prenez que l’ess…Iel ! Ceci n’es pas un exercice ! Je r….ète, ceci n’est pas un exerci…! Un tableau s’affichera sur l’écran géant de votre …eur, il vous indiquera où aller ! Suivez les forces de l’ordre. Seule l’armée est autorisée à rester dans les secteurs. » Theo appuya sur l'accélérateur, bizarrement personne ne sortait des maisons, des immeubles : peut-être n'avaient-ils pas entendu l'appel. Une fois descendu de la voiture, Adèle se retourna et vit des gens accourir : elle avait parler trop vite. Ils rejoignirent l'armée qui les postèrent devant les portes pour vérifier un à un ceux qui venaient, pour ne pas que des membres de gang rentrent. Adèle avait peur, elle n'était pas du tout rassurée car les gens étaient effrayés. Mais de quoi ?
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Aidrian E. Calagan
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MessageSujet: Re: [Flashback] The Walking Dead - Multijoueurs. [Flashback] The Walking Dead - Multijoueurs. EmptyDim 15 Jan - 13:21

Le brun se balade tranquillement, à moitiez à poil comme à son habitude en mâchouillant une tablette de chocolat blanc, baillant à s'en exploser la mâchoire en se grattant la tête. Encore une fois, Aidrian n'a presque pas dormi de la nuit, pas de repos pour lui car, les plans d'une maison qu'il doit concevoir pour un petit richou n'attendent pas. Un sourire au coin de sa frimousse apparaît et ses yeux bleus pétillent de malice. Il y arrive enfin, sa carrière prend forme et il décolle. Il boit un longe gorgée de café avant de lâcher un rot tout sauf discret, faisant la grimace en priant pour que sa meilleur amie n'ait rien entendue. Le châtiment des pincettes l'attendait au tournant. «  Il fait beau aujourd'hui, tu trouves pas ? On parie combien que mon frère est encore au parc !  ». Il demande en allumant la télé, tournant la tête sans vraiment savoir où se cache la rouquine. Et tout en entrouvrant les lèvres, le brun fronce les sourcils. Quelque chose le démange de l'intérieur, sa respiration se bloque et une violente douleur le prend aux tripes. C'est un peu comme les calculs rénaux, mais en pire. Y a un truc qui le démange de l'intérieur et qui voudrait sortir de là à tout prix. Il sent ses bras s'allonger, ses muscles se contorsionner, ses membres se tordent dans tous les sens. Il ne peut plus hurler tellement la douleur et insupportable. Est-ce que c'est-ce putain de café qui lui fait cet effet ? L'effet « Coup de fouet » garantie était loin d'être comme il l'imaginait ! Un gémissement plaintif s'échappe de sa gorge tandis qu'il jurerait avoir entendue un craquement provenir de son abdomen. Il crache du sang et vomie sur le tapis, frappe le sol de ses points en implorant. Que ce putain de soit disant bon dieu lui foute la paix, merde ! « AIDRIAN ! ». Où il est déjà ? Il entend bien la voix d'Isabella à côté de lui, mais ses oreilles bourdonnent tandis qu'il lâche un nouveau cri de douleur. « A... Arrête ça ! ARRETE ! ». Il peut supplier, demander pardon pour des fautes qu'il aurait commises, la douleur, les craquements d'os, les crachas de sang ne cessent pas, du moins pas avant ce qui lui semble être une éternité. Avant qu'il ne tombe dans les ténèbres. Son réveil allait lui assurer une drôle de putain de mauvaise surprise.


Dernière édition par Aidrian E. Calagan le Mar 9 Oct - 6:09, édité 2 fois
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Isabella Clark
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MessageSujet: Re: [Flashback] The Walking Dead - Multijoueurs. [Flashback] The Walking Dead - Multijoueurs. EmptyDim 15 Jan - 14:39

« J’ai entendu ! » qu’elle pense fortement, un sourire jusqu’à derrière les oreilles du châtiment qu’elle sait qu’il sait qu’elle va lui infliger. Heureusement que la peau de son meilleur ami ne marque pas trop, leurs amis pourraient penser qu’elle le bat avec cette manie qu’il a de se trimballer à moitié à poil. Enroulant une serviette autour de ses cheveux humide, elle ouvre la porte de la salle de bain avec son coude et pousse celle-ci d’un coup de fesse. « C’est ça, change pas d’sujet je t’ai entendu et… Aid ? Ça va pas ? » Question idiote bien sûr puisque son meilleur ami est à terre entrain de cracher du sang et de vomir en même temps. « AIDRIAN ! » Elle se jette à genoux près de lui, n’osant pas le toucher d’abord de peur de lui plus mal qu’il ne semble avoir déjà. « A…arrête ça ! ARRÊTE ! » Oh mon Dieu… elle se penche sur lui, caresse son dos dans un geste qui se veut rassurant et lui murmure à l’oreille des mots qui aspirent au même effet. De son autre main elle tente d’atteindre son téléphone dans la proche de son jeans, paniquée. Il allait très bien il y a deux minutes ! La main sur le dos d’Aid va vers son front pour le dégager des cheveux qui sont venus s’y coller. Pourquoi elle n’arrive pas à faire ce foutu numéro des urgences ? Sa main tremble d’énervement et elle recommence pour la troisième fois. « Toutes nos lignes sont occupées, veuillez réessayer ultérieurement. » C’était… une blague ? Depuis quand les urgences ont toutes leurs lignes occupées ?! Elle réessaye une fois, deux fois… Toujours le même discours. Alors elle balance son téléphone de rage, mais c’est pas grave c’est un Nokia 3310. Et un boom se fait entendre. Isa ne l'a pas vu s’évanouir et s’arrête un instant de respirer. Elle pose sa main devant ses lèvres, le souffle d’Aid bute contre. Elle soupire de soulagement et respire un bon coup. « C’était quoi déjà c’truc appris en cours de premiers secours ? Position latérale j'crois… » Dans des gestes méticuleux, pour ne pas qu’il s’étouffe avec son vomit ou son sang ou même avec sa langue, elle le place comme elle l’a apprit. A défaut d’appeler les secours, elle va appeler William. Bella se déplace légèrement, elle ne veut pas le quitter, et cherche le téléphone un peu plus loin. Décroche, décroche, décroche. Répondeur. « Will ? Will c’est Isabella ! Viens vite à l’appart s’il te plaît. Aid est tombé dans les pommes, j’arrive pas à joindre les secours et… c’était bizarre il a vomit, il donnait l’impression de souffrir le martyre d’un seul coup ! Il s’tordait dans tous les sens et oh mon dieu ! il allait si mal ! Je sais pas quoi faire, juste, viens vite ! »


Dernière édition par Isabella Clark le Mar 17 Jan - 17:59, édité 1 fois
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William S. Calagan
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MessageSujet: Re: [Flashback] The Walking Dead - Multijoueurs. [Flashback] The Walking Dead - Multijoueurs. EmptyDim 15 Jan - 15:37

Rappel transformation.:

Marchant, ou titubant si le terme voulait être exact, en direction de sa voiture, William cherchait du réconfort à droite et à gauche du regard. Mais les personnes qui étaient dans le parc observaient le jeune homme de façon bien étrange. Toussant légèrement, se demandant ce qu’il pouvait bien lui être arrivé, il cherchait au fond de ses poches ses clés de voiture, ce qui lui permettrait de rentrer se reposer, car c’était la seule chose qu’il espérait faire maintenant. Ayant enfin mit la main dessus, il les inséra en tremblant comme une feuille au gré du vent. Profitant de son moment de répit une fois assis dans son siège, respirant un grand coup. « Faut que t’arrête le sel sur le steak Will… Ce n’est pas bon pour ton foi… » Se disait-il. Mais le pauvre, il était bien loin du compte. Mettant le contact à son véhicule, il chercha du réconfort au près de son rétroviseur, cherchant le bon angle pour ensuite quitter le parc. Mais alors qu’il pencha la tête vers l’avant pour reprendre son souffle, une personne déboula et cogna sur son capot. Effrayé, William releva la tête, c’était un homme, plus âgé que lui, haletant. « Vous avez oublié votre sac quand vous êtes repartis monsieur… » « Ah oui, merci beaucoup ! » Une fois gracié, l’homme qui était en train de faire son jogging observa étrangement le tee shirt du malade, qui était plein de sang. Mais il était bien trop occupé à fouiller le contenu de son sac pour s’en rendre compte. Entre deux feuilles, se trouvait son téléphone. Il le regarda tout d’abord pour avoir l’heure, mais il vu ensuite qu’il avait un message. De Isabelle « Qu’est-ce qu’elle me veut encore… » Ignorant le message qu’elle lui avait laissé, il prit donc la route jusqu’à chez lui, où son lit l’attendait. Il ne se sentait pas d’humeur à mettre la musique, car sa tête était déjà assez prise comme ça. Toutes ces ignorances, il était sur le point de le regretter, mais il ne savait pas vraiment encore qu’elles allaient être les conséquences.

Au niveau d’un feu, il s’arrêta à droite d’une autre voiture, c’était une double file, et regardant à gauche les passagers de l’autre voiture. William eut un grand moment d’hésitation. Ces personnes se comportaient de façon étrange, Ils étaient en panique et ouvrirent la fenêtre passage faisant signe à Will. « Ecoutez la radio ! » Mais sans vraiment avoir de précisions, ces deux personnes grillèrent le feu. Il y avait une sorte de tension qui se sentait, et d’un seul coup, les gens se mirent à paniquer, bouger, crier. Allumant sa radio, il entendit le message du président. Poussé par les voitures derrière lui, il s’arrêta sur le côté, pour ne pas gêner le trafic et comprendre ce message. Pourquoi ces gens sont t’il affolés ? Écoutant le message en boucle, le dévastateur afficha une tête de déterré. « Mais merde ! C’est quoi encore ce bordel ?!? ». Attrapant son Iphone, il essaya de joindre son frère, en vain, jusqu’au moment où il décida d’écouter le message d’Isa. « Will ? Will c’est Isabella ! Viens vite à l’appart s’il te plaît. Aid est tombé dans les pommes, j’arrive pas à joindre les secours et… c’était bizarre il a vomit, il avait l’impression de souffrir le martyre d’un seul coup ! Il s’tordait dans tous les sens et oh mon dieu ! il allait si mal ! Je sais pas quoi faire, juste, viens vite ! » N’ayant pas le temps de réagir autrement que d’accélérer, le jeune homme ne comprenait absolument pas ce qu’il se passait, mais il devait aller voir ce qu’il arrivait à son frère. Etait-ce la même chose qu’il venait juste de lui arriver ? Et ce message ? Et ces gens allongés au bord de la route ? C’était à n’y rien comprendre. Mais au bout d’une dizaine de minutes accélérées, William arriva enfin à destination. Et, sortant de la voiture sans couper le moteur, il entra dans le domicile de son frère, hurlant. « AID’ ! !!? ISA !!!? BORDEL, VOUS ETES OU ??? ON DOIT SE BARRER ET VITE ! ».
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Evelyn R. Maclaine
Evelyn R. Maclaine
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MessageSujet: Re: [Flashback] The Walking Dead - Multijoueurs. [Flashback] The Walking Dead - Multijoueurs. EmptyDim 15 Jan - 17:50


    Le petit bureau d’Evelyn croulait sous les piles de dossiers, et c’était à peine si l’on pouvait encore se frayer un chemin entre les montagnes de documents sans risquer de tout déplacer. Il y en avait partout. Rapports de police, résumés d’autopsie, photos et articles de presses recouvraient les murs, épinglés tels des trophées, tandis que d’autres documents s’entassaient à même le sol. C’était-là le résultat de longs mois d’enquêtes et de recherches pour s’efforcer de retracer le cours d’événements que beaucoup auraient voulu garder secrets. Les traits tirés, Evelyn s’appliquait à rédiger l’article qui devait paraître le lendemain dans les colonnes du Sentinel. On n’entendait rien d’autre que ses doigts marteler le clavier avec toute la passion et la tenace résolution que le sujet lui inspirait. « Et pour fuir ses responsabilités pénales et ne pouvoir être attaqué si l’affaire devait être rendue publique, le gouvernement refusa lâchement d’en connaitre les détails. » Les yeux rivés sur l’écran de son ordinateur, elle pianotait à une vitesse qui trahissait une longue expérience. Car elle n’en était pas à son premier article, mais rares étaient les affaires dans lesquelles elle avait investi tant de temps et d’énergie. Sa mâchoire se contracta avec mépris tandis qu’elle poursuivait. «Cependant, d’après les rapports auxquels nous avons eu accès, le Secrétaire d’Etat à la Défense Nationale ne pouvait ignorer les actes de tortures perpétrées, parfois sur des adolescents, au sein de la section Alpha. Il se serait d’ailleurs rendu lui-même et à deux reprises à Al-Jasira où est situé l’un des principaux centres spécialisés dans l’obtention de renseignements. De nombreux témoignages corroborent cette vers… »

    La porte s’ouvrit brusquement pour permettre à Tim de passer la tête et tout le vacarme de la ‘ruche’ s’engouffra dans le petit bureau, arrachant ainsi la jeune femme à ses pensées. « Eva, il faut que tu viennes voir ça. Tu ne vas pas y croire. » Fronçant légèrement les sourcils, Evelyn se leva à contrecœur de son siège pour le suivre dans ce qu’ils appelaient ‘la ruche’, un espace de travail ouvert et organisé en open space où chaque jour, des dizaines de chroniqueurs et de reporters contribuaient à faire toute la renommée du Sentinel. C’était l’effervescence. Les téléphones n’en finissaient pas de sonner : c’était pour la plupart des témoins d’agression cherchant à faire les gros titres, mais parfois aussi des individus à la recherche d’un de leurs proches, disparus sans laisser de trace. Il fallait traiter leurs appels, un à un, et tenter d’en extraire un début de vérité. « C’est de pire en pire, ajouta Tim en désignant l’écran géant qui diffusait en continu des flash d’information venus des quatre coins du pays. La situation est en train de leur échapper ». Et comme elle tournait son regard en direction du téléviseur, l’image se brouilla, grésilla un moment avant que le visage familier, connu et reconnu de tous du Président des Etats-Unis apparaisse. Un conseiller lui remit à la hâte une feuille avant de disparaître du champ.

    « Nous interrompons votre programme habituel pour délivrer un message de la plus haute importance. Veuillez, je vous prie, être attentifs à ce qui va vous être dit. » Dans la ruche, tout le monde se figea ; les doigts cessèrent de pianoter frénétiquement sur les claviers, et ceux qui se trouvaient au téléphone levèrent la tête. Un petit malin chercha à changer de chaine, mais sur tous les canaux, le visage alarmé du président. Apparemment, la situation était bien plus préoccupante que ce qu’on avait voulu croire. « A tous les habitants, je répète, à tous les habitants américains ou autre citoyens venus d’autres régions. Tous les civils doivent impérativ.. » Zuuuuiiiiif « se rendre dans la zone la plus proche ! » Il y eut un silence angoissé, avant que les téléphones ne se remettent à sonner de plus bel. C’est à ce moment-là que le monde tout entier céda à la panique. Certains se levèrent en toute hâte et rassemblant leurs quelques effets personnels, s’enfuirent en courant. D’autres furent plus hésitants et attendirent que leur rédacteur en chef les autorise à s’en aller.

    Se frayant un chemin parmi la foule, Evelyn parvint à rejoindre le bureau de Frank Siegel. Lorsqu’elle entra, il se trouvait debout et lui faisait dos. « Je suis en train de me servir un verre de mon meilleur Bourbon, tu en veux peut-être un ? » Se disant, il se tourna pour faire face à la jeune femme. Il affichait une mine défaite, et elle le sentit véritablement désemparé. Evelyn esquissa un sourire poli et refusa, quelque peu gênée. « J’attendais une grande occasion pour l’ouvrir. Aujourd’hui, je l’ouvre de peur de ne plus avoir d’autre occasion. » Il porta le verre à ses lèvres dans un rictus et le vida d’un trait avant de s’en servir un second. « Tu es venu me dire adieu, je suppose ? C’est très délicat à toi.» Evelyn s’approcha doucement et ancra son regard dans le sien, cherchant à y déceler quelque chose entre l’espoir et la pugnacité. Mais elle fut désemparée de n’y trouver que de la désolation. « Rentre chez toi, ma belle, va donc retrouver ton fils. Tu vois bien qu’il n’y a plus rien à faire.» Elle l’avait observé un instant, mesurant le poids de ses mots et finissant par admettre ce que beaucoup clamaient depuis plusieurs semaines maintenant. Un triste sourire baigné de larmes vint éclore à ses lèvres tandis qu’elle s’approchait pour prendre dans ses bras celui qui avait accompagné ses premiers pas dans l’univers du journalisme.« Prends soin de toi, ma petite Evey. »Elle acquiesça en souriant tandis que de grosses larmes dévalaient ses joues brûlantes, et vint déposer un baiser sur sa joue en guise d’adieu.



Dernière édition par Evelyn R. Maclaine le Mer 18 Jan - 9:33, édité 1 fois
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Severin L. Sloan
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MessageSujet: Re: [Flashback] The Walking Dead - Multijoueurs. [Flashback] The Walking Dead - Multijoueurs. EmptyDim 15 Jan - 23:48

"Hihihihihiiii...".

Eh oui... encore une fois, et ce depuis qu'il était sorti de son appartement, Severin venait de rire comme un tordu. Une première, me direz-vous ? Hmmm... presque ! Il lui arrivait d'avoir des gloussements stupides mais de cette nature... même Hannibal Lecter en aurait frémi, parole !
Le jeune homme frémit même... mais de plaisir... tandis que, titubant, comme ivre, il longeait la neuvième avenue sans vraiment savoir où il allait. Son hôpital peut-être ? Le cours de danse, là où Anastasia, sa copine, donnait cours ? Chez lui ?...
Qu'il était bête ! De chez lui, il en venait, et ce après une découverte plutôt... macabre...
Hihihihhiii ! Severin, rien qu'à cette pensée, se mit à nouveau à rire... et à bien rire, oui, un rire démoniaque, sadique, particulièrement crispant et terrifiant. Un rire qui fit se retourner bon nombre de personnes sur son passage...

Spoiler:

Le fou rire de Severin s'arrêta au moment où il redressait la tête de s'être trop penché sous l'éclat de ces trilles invraisemblables. Un petit garçon et sa maman passèrent devant lui, le fixant d'une étrange façon, et il passa, en effet, qu'ils pressaient le pas pour ne pas demeurer trop en présence d'un tel individu. Cette simple idée relança cette délirante euphorie tandis que sous des couinements aigus, une main sur le coeur, il progressait lentement, en direction de... d'il ne savait où...

Ce fut une boutique qui attira son attention et deux hommes près du comptoir. L'un, le gérant, venait de monter le son d'une petite télé qu'il avait installé là et l'autre, un client ou un habitué, suivait de près ce qui se passait à travers la petite boîte à images.

« A tous les habitants, je répète, à tous les habitants américains ou autres citoyens venus d’autres régions. Tous les civils doivent impérativ.. » Zuuuuiiiiif « se rendre dans la zone la plus proche ! »

Les deux hommes échangèrent alors un regard tétanisé et Sev' eut comme un frisson. De terreur ? Non... de plaisir... L'odeur de la trouille, sans doute... Mais... de quoi il parlait là ? Sans s'en rendre compte, il se rapprocha de la petite boutique.

« Rejoignez les zones de votre ville/secteur, celles-ci contiennent nourriture et abris, ne prenez que l’ess…Iel ! Ceci n’es pas un exercice ! Je r….ète, ceci n’est pas un exerci…! Un tableau s’affichera sur l’écran géant de votre …eur, il vous indiquera où aller ! Suivez les forces de l’ordre. Seule l’armée est autorisée à rester dans les secteurs. »

A nouveau, les deux hommes s'échangèrent un regard tétanisés. Le gérant s'empressa d'augmenter le son, tapant sur le téléviseur qui grésillait et crachait, rendant l'âme, tandis que son comparse hochait la tête, désemparé, impuissant. Jusqu'à qu'une ombre, gigantesque et sombre, ne s'étende sur leurs deux silhouettes mises à mal par la nouvelle. Deux pas se firent entendre. Suffisant pour que le tenancier lève la tête, fronce les sourcils un instant par incrédulité et ne demande :

"Qu'est-ce qu'y vous faut, monsieur ?".

Le jeune homme fit une petite moue tout en haussant les épaules.

"Moi ? Lâcha-t-il tout innocemment, j'ai faim, c'est tout...".


Et alors qu'il s'approchait vers eux, entrant un peu plus dans la boutique, Terry, gérant de ce petit drugstore, ne sut si ce qu'il venait de voir était clairement plausible...
Car sous la pénombre d'une électricité mourante, au milieu d'une masse au visage ricanant, deux yeux bleus venaient de s'allumer. Oui, littéralement ! De s'allumer ! Comme deux feux qui vous fixent et ne vous lâchent plus...
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Edward J. Wood
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MessageSujet: Re: [Flashback] The Walking Dead - Multijoueurs. [Flashback] The Walking Dead - Multijoueurs. EmptyMer 18 Jan - 0:56

" J’te prends quelque chose au Starbucks ? " Nan, j’ai pas trop envie d’avaler quelque chose là… " Comme tu veux… ". Je pose mes lunettes sur mon nez et traverse l’avenue pour finir par entrer dans la pièce où, bizarrement, il n’y a pas âme qui vive. - entre temps, un étrange message à la radio passait sans que les deux étrangers puisse l'entendre. L'un branché sur son ipod et l'autre, dans le starbucks
« A tous les habitants, je répète, à tous les habitants américains ou autres citoyens venus d’autres régions. Tous les civils doivent impérativ.. » Zuuuuiiiiif « se rendre dans la zone la plus proche ! »
le message ne peut être entendu, la radio reste éteinte et au moment où la télé, restée allumée diffuse des images d'alerte dans le Starbuck, Edward est déjà dehors, retournant vers la Chevrolet
« Rejoignez les zones de votre ville/secteur, celles-ci contiennent nourriture et abris, ne prenez que l’ess…Iel ! Ceci n’es pas un exercice ! Je r….ète, ceci n’est pas un exerci…! Un tableau s’affichera sur l’écran géant de votre …eur, il vous indiquera où aller ! Suivez les forces de l’ordre. Seule l’armée est autorisée à rester dans les secteurs. »- Cette impression m’est étrange. Alors, je jette un coup d’œil sur la porte d’entré qui pourtant, affiche que le bar est bel et bien ouvert, puis sur ma montre. Haussant les épaules, je disparais un court instant aux toilettes puis retourne à la voiture. " C’est bizarre, Starbucks était ouvert mais…il y avait personne à l’intérieur… " Hum… Bon visiblement, son cota de mots est au plus haut. Pas la peine d’insisté, cela n’amènerait la conversation qu’au conflit. Va falloir s’y habitué après tout. Les trente minutes qui suivirent se firent dans un silence religieux et c’est trente minutes plus tard que je le rompis le premier. " Bon sang c’est quoi c’bordel ! ". Aussitôt ces mots prononcés, je donne un violent coup de volant sur la droite pour éviter la chose monstrueuse qui a surgit brusquement devant la bagnole. Celle-ci devient incontrôlable et la seule chose qui me reste à faire, c’est veiller sur ma peau et sur celle de ma gamine. A peine ai-je eu le temps d’y pensé que la voiture se met à faire plusieurs tonneaux pour enfin, s’immobilisé. Tout autour de moi est soudainement flou et les échos que je perçois semble lointain. " A…Amy… ". Est-ce bien elle qui crie ainsi ? Il faut à tout prix que j’ouvre les yeux, que je m’assure que tout va bien pour elle, qu’elle n’est pas blessé. Mais ma vue est brouillé et le sang qui coule n’arrange pas les choses. Dans un ultime effort, j’ouvre un œil difficilement, puis l’autre. Ah putain, ce sang dans ma bouche me donne envie de rendre le peu que j’ai pu ingurgiter aujourd’hui. Il y a quelque chose qui ne va pas, je le sens, je le sens au plus profond de moi-même. Seulement, cette apparaissions soudaine ne peut être vraie, ces choses ne peuvent exister quand dans les films ou dans la tête de ce vieux fou de Stephen King. Mes yeux risquent à nouveau de se fermer mais, soudain, je réalise qu’Amy n’est plus dans la voiture. Elle ne peut pas avoir filé en me laissant crever comme un chien dans cette caisse, cela ne peut être possible. Nos relations ont beau être par moment tendu, je sais que pour rien au monde elle serait digne d’une telle cruauté. Vainement, je tente de déboucler ma ceinture mais avec la tête à l’envers, ce geste pourtant si habituel, me parait être à présent un exploit. A nouveau, ces cris…" AMY ! ". Mon sang ne fait qu’un tour et savoir que la vie de mon enfant est peut être en ce moment même en danger me donne la force nécessaire pour me dégager de cette ceinture à la con qui m’entrave le torse. Brutalement, je retombe sur le toit du Pick up et me cogne lourdement la tête, m’assommant un peu plus. Cette fois, je suis moins lent à réagir. J’ai perdu que trop de temps avec toutes ces conneries ! Je rampe vers la fenêtre pour me sortir de la bagnole qui dégage une odeur forte inquiétante quand, à nouveau, cette vision d’horreur surgit devant l’une des seules issue. Poussant un cri de peur, je me recule brutalement vers l’autre fenêtre et met le plus distance entre cette chose et moi. Je suis un homme, mais ce qui est en train de me sourire ne l’est plus et dans ces moments là, je suis capable d’éprouver ce sentiment que tout être humain normalement constitué est sensé avoir dans pareil situation. La terreur. Oui, c’est bien la terreur qui me cloue sur le toit de ma voiture retourné et m‘empêche de réfléchir correctement, mes pensées toutes tournés vers ce visage puant la mort jusque là. Avec une force incroyable, cette chose pète la vitre en face de moi et le bruit ne tarde pas à se répété, mais cette fois-ci dans mon dos. Des bras, des bras couvert de plaies, viennent entouré ma gorge alors qu’une de ces créatures passe la tête par le fenêtre pour mordre avec bestialité ma gorge ainsi offerte tout en me tirant hors de la voiture pour, je pense, mieux savouré son repas. De ma main droite, je tente de récupéré le flingue que j’ai rangé dans ma boite à gant mais, l’étau se resserre et m’empêche de respirer. J’abandonne toute recherche et plante mes ongles dans la chair de ce damné tandis que les doigts de ma main gauche rencontre la batte de baseball. L’enserrant avec fébrilité, m’accrochant avec indécence à la vie, je me laisse finalement sortir de la bagnole et une fois sur le bitume, je profite que le mort vivant soit occupé à vouloir me becter pour lui foutre un bon coup de batte dans le crane. Touché. La chose crie, le sang gicle, mais je ne m’attarde pas sur elle pour savoir si elle va bien. Non, je me relève et profite de sa faiblesse pour m’emparer de mon arme à deux mains et utiliser toute ma force pour lui exploser la gueule sur le béton. La tête du mort vivant vole au loin. En temps normal, je me serais félicité pour cet exploit mais, mais mon temps et celui d’Amy nous est à présent compté. Je lève les yeux du sol, regarde autour de moi et par chance, je vois l’attaque venir. " Dégage, salope ! ". Cri de rage et de souffrance de la part de mon adversaire mais, une fois encore, je ne lui laisse pas le temps de riposter que déjà, son corps vient s’échoué à mes pieds. Tout autour de moi n’est plus que désert et ruine. Amy a disparu. Beaucoup trop de temps, j’ai mis beaucoup trop de temps à réagir. Lâchant la batte de baseball sur le sol, je m’écroule sur le bétume, mes jambes se dérobant d’une façon déconcertante, et fait une chose que je ne m’étais pas permis de faire depuis de nombreuses années. Je pleure. [/font]
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Charlie Keegan
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MessageSujet: Re: [Flashback] The Walking Dead - Multijoueurs. [Flashback] The Walking Dead - Multijoueurs. EmptyMer 18 Jan - 17:29

Rester ici, c'était comme la mort en boite. L'odeur peu sublime des liquides corporels, la puanteur humaine à son état pur. C'était bon pour l'indigestion garantie. Il se répugnait lui-même à la vue de ce gros type et de son sandwich dégoulinant et donnant tout sauf envie d'y donner un coup de dents. Un haut le cœur l’obligea à détourner le regard pour se fixer sur ses pensée qui ne voulaient l’abandonné. Pour avoir tout abandonné pour cette vie-là, cette vie plus merdique encore que celle qui l’avait précédée? Il avait rêvé, un instant, d’un lit confortable, d’une bouffe potable qu’il n’aurait pas à vomir aussitôt parce qu’elle était plus pourrie qu’il ne l’était lui-même. Pitoyable. C’était le mot qui décrivait le mieux sa situation, sa position, tout ce qu’il était à l’heure actuelle. Il devrait plutôt se contenter de cet appartement miteux du genre cinématographique, comme on en voit tant, d’un coloc avec quelques neurones dans la cervelle, pas suffisamment brillant pour aligner trois mots de suite sans s’égarer entre sa langue tordue et ses pensées. Il avait claqué la porte qui lui servait de chambre pour faire comprendre qu’il ne souhaitait nul dérangement… Il passa la main sur un vieux radio poussiéreux qu’il alluma en espérant ainsi se divertir un moment. Le temps que son mal de vivre lui passe. Le temps de récupérer son air normal, de foutre en l’air tout ça et de reprendre le cours de son existence minable. Il n’entendait rien de particulier si ce n’était ce grincement commun aux appareils électroniques. Les parasites dans le son provoquaient cette étrange musique continue qu’il trouvait apaisante en ce temps de conflits internes. Les nouvelles météos qu’il n’entendait que trop peu pour réellement savoir de quoi il s’agissait ne l’intéressait pas. Il comprenait seulement le mot « chaleur » qu’il déprimait aussitôt. Alors qu’il jouait toujours à tenter de trouver un poste de radio fonctionnel, quelques sons lui parvinrent entre deux autres, le laissant momentanément perplexe. « …tous les habi… doivent impérativ… es zones de vo… pas un exerci… uivez les forc… ’armée est autorisée à rester dans les secteurs. » Il grommela quelques sons agacés avant de finalement se résoudre à de nouveau changer de poste de radio pour constater qu’ils racontaient la même chose absolument partout. Il se résolu enfin à débrancher cette radio qu’il fourra dans un sac en se disant qu’il la réparerait plus tard dans un petit café quand il aurait un moment…

« Qui croit ces conneries, aujourd’hui? »

***

Il n’y avait rien à dire sur les derniers évènements de la soirée. Un coloc qui avait pété un plomb, tout simplement! Il n’avait rien à ajouter, pas de quoi s’en faire non plus. Il n’avait que, quoi, tenter de lui fracasser le bras à coup de porte de chambre déchainé? Il avait tenté de lui sauter dessus! Ce n’était que légitime défense! Pas de quoi en faire un drame. Il avait fuit la folie d’un type qu’il n’aimait même pas pour commencé. Malgré ses propres pensées d’encouragement pour s’oublier, ses mains le trahissaient et n’avaient de cesse que de trembler de manière incontrôlable. Il s’était glissé dans une foule et suivait, incertain. Il ignorait ce qu’il se passait et n’était pas vraiment certain de seulement désirer le découvrir. Il se retrouva bien rapidement mêlé dans la masse de gens en paniques devant les clôtures fermées, les tests, devant l’armée ou il ne savait trop quoi encore, ne voyant rien de là où il se trouvait. Il songea que, si la rumeur qui circulait parmi eux était vrai, qu’un virus dangereux était la cause de tout ceci, que ce n’était certainement pas le meilleur endroit où se trouver… Ils devraient se diviser pour éviter la contagion justement, et ne pas avoir à côtoyer les malades, non? Mais pour l’instant, lui était pousser au devant et ne tentait pas de faire demi tour… c’était la curiosité qui l’emportait… Du moins jusqu’à ce qu’un type quelconque peste contre le sac qu’il trainait et qui prenait toute la place. Il grommelait et l’ignorait tout simplement…
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MessageSujet: Re: [Flashback] The Walking Dead - Multijoueurs. [Flashback] The Walking Dead - Multijoueurs. EmptyDim 22 Jan - 9:32

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ON MEURT TOUS UN JOUR.


2 janvier 2011 : deux heures de l'après-midi.



Et c’était la fin … La fin de mon monde. Ils avaient tout détruit. Cette armée, ces gens qui se disaient défenseurs de leurs patries. Qu’est-ce que vous croyez que j’allais faire, moi, dans tout ça, hein ? HEIN ?! … Ils ne m’attraperaient pas, jamais. Je ne leur appartenais pas. Il me cherchera, je le sais. Il me cherche partout, il ne s’occupe même pas de son pays. Mais s’il savait … Je ne veux pas finir comme ça, non, par pitié … Je sais comment ils fonctionnent. Ca ne m'arrivera pas, si je dois vivre libre dans un monde aussi immonde, je le fairais. C'est toujours mieux que ça.

Et c’était la fin de mon monde. La fin de vôtre monde.

A.W.E







INDICE DE JEU

Voici le second tour de jeu ! Il est temps de passer la seconde. Dépêchez-vous de rejoindre le camp. Ou c'est la mort assurée ! Chacun de vous doit s’occuper de son travail, de ses proches. Tandis que beaucoup sont déjà devant les camps des réfugiés, ne comprenant pas les raisons de leur présence en ces lieux, d’autres se démènent avec les contaminés, cherchent encore leurs repères, réagissent plus lentement. Cependant, il est temps de faire vite, Civils, rejoignez au plus vite les camps. Vous y trouverez une vague humaine en folie, vous entendez les cris des enfants, les pleurs des mères, les supplications des pères quand leurs femmes se retrouvent embarquées par les forces de l’ordre. Les écrans géants diffusent en boucle le message du Président. Vous passez au scanner, faites attention, il peut parfois y avoir des erreurs ! Si vous êtes mordus, ces appareils le sauront, l’armée vous emmènera là où vous ne ressortirez sûrement jamais … Du moins, pas vivant.Vos postes seront de 10 à 35 lignes ! Favorisez l'action à la longueur de préférence. Si votre texte dépasse, ce n'est pas un drame, mais pour ceux n'ayant pas autant de temps, vous pouvez poster de petites réponses.






INDICE DES GROUPES

-CIVILS - Rien à ajouter.
-DÉVASTATEURS - Vous devez vous remettre de votre crise, vous êtes dans un état faible. Attention, les scannersde l'armée risque de réagir sur vous.
-GOUVERNEMENT - Peu importe dans quel secteur vous êtes, agent du FBI, Marshall etc... Votre reflex sera d'aider les civils. L'armée et les Marines se chargent du reste.
-IMMUNISÉS - A vous de choisir le moment de votre morsure. En sachant que si l'armée vous grille, vous êtes morts !

Sans ordre de passage. Vous pouvez poster plusieurs réponses. Néanmoins, pas de doubles-postes. Prenez les postes des autres en compte ! A vous de jouer maintenant. Et si vous avez des questions, adressez-vous aux administrateurs !

PARTICIPANTS :

Aidrian E. Calagan
Severin L. Sloan
Adèle A. Porter
Charlie Keegan
Evelyn R. Maclaine
William S. Calagan
Edward Wood
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Eliott Holbrook III
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MessageSujet: Re: [Flashback] The Walking Dead - Multijoueurs. [Flashback] The Walking Dead - Multijoueurs. EmptyDim 22 Jan - 10:29

Eliott n'en croyait pas ses yeux, ni même ses oreilles. Devant l'abri numéro 3, tant de monde, tant de gens, véritable marée humaine qui se pressait au barrage frontalier qu'ils avaient mis en place, lui, comme ses compagnons d'armes. Dans sa tête, le jeune journaliste de guerre répertoriait chaque événement qui lui sautait aux yeux ou le scandalisait, allant jusqu'à le choquer voire même le glacer... Et il fallait avouer que, malgré l'immense foi qu'il avait en l'armée de son pays, le jeune homme ne pouvait s'empêcher de noter que les humeurs et les heurs venaient principalement du camp auquel il appartenait. Un de ses compagnons, au loin, alla jusqu'à fracasser la mâchoire d'un homme pour s'être approché de trop près, craignant d'être mordu, comme il se justifia par la suite, complètement paniqué. Les sirènes, quant à elles, retentissaient à travers toute la ville tandis que le message du président, voix grésillante et saccadée parfois par les limites de la technologie communicative, passait en boucle, sans jamais discontinuer.

Un flot de personnes, toutes plus alarmées et terrifiées les unes que les autres, arrivèrent à la porte où il était stationné, lui, comme ses camarades d'ailleurs. Velpowski, un homme de son âge, grand, blond, immigré polonais, tâchait de repousser cette marée humaine tant bien que mal, promettant que l'on allait s'occuper d'eux. A sa gauche, Chandler, une jeune femme qu'il appréciait... infirmière au sein de l'armée. Elle avait servi en Irak et avait un beau palmarès. Pour l'instant, ce qu'elle tentait de faire était de rassurer mais surtout de contenir la foule.

"Un à la fois ! Criait-elle, je répète, une à la fois et pas de bousculade !".

Eliott ne savait plus trop où donner de la tête, jusqu'à ce qu'une femme avec un enfant en bas âge dans les bras et une petite d'à peine 4 ou 5 ans qu'elle tenait par la main n'apparaisse, poussant tout le monde, hurlant qu'il fallait qu'on l'aide et vite, suppliante... et couverte de sang.

"Je vous en prie !! Nous avons été attaqués par des malades ! Par pitié ! Mon mari est resté là-bas, je vous en prie !".

"Calmez-vous, Madame, eut-il le réflexe de dire, sans trop de force d'ailleurs, je... nous... allons faire le nécessaire".

Lui-même était parti en Irak. Mais en tant que reporter de guerre, il n'en demeurait pas moins qu'il restait "bien derrière" comme disaient ses collègues... Oui, loin derrière...

"Avancez jusqu'aux portes là-bas et...".

"NON !! (elle l'agrippa alors par le col de sa chemise) NON !! Il faut sauver mes enfants !! Il le faut !! J'ai peur qu'ils ne soient blessé, faites quelque chose !! Par pitié !!".

Chandler se rapprocha et Velpowski en fit de même, carrant sa kalachnikov contre sa hanche, bien, bien en évidence. Il devrait se croire dans Full Metal Jacket. C'est alors que la femme blessée rapprocha son visage du sien, le secouant sans vergogne. Eliott Holbrook, abasourdi, était complètement impuissant. Chandler se dépêcha de la saisir et de la repousser mais la marée humaine, juste derrière, semblait avoir profité de la situation pour redoubler d'effort comme de rage pour pénétrer cet abris. C'est alors qu'une pétarade surgit au milieu de la foule...
La pauvre femme se recula, protégeant ses enfants comme elle put tandis que la moitié des réfugiés étaient accroupis, les mains sur la tête.

Holbrook, regard pénétrant, son revolver encore fumant levé au clair, sonda la foule dans l'attente d'éventuelles représailles. Il finit par ranger son arme et par clamer, haut et fort :

"Chacun en rang derrière ces lignes ! Vous passerez tous ! Mais tout d'abord, j'exige le calme et le silence le plus complet !".

La foule s'exécuta, plus terrifiée que réellement indignée. On savait qui tenait les armes et, malheureusement, il n'y avait pas grand chose à faire contre les forces armées. C'était être avec eux ou contre eux. A partir de là, choisissez votre camp...
Eliott poussa un profond soupir, teinté d'un soulagement certain. Il s'essuya le front à travers le son casque ; un front trempé de sueur.
De mémoire d'homme, jamais une telle chose ne s'était produite aux Etats-Unis... encore moins à New-York !
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Abby W. Eliott
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MessageSujet: Re: [Flashback] The Walking Dead - Multijoueurs. [Flashback] The Walking Dead - Multijoueurs. EmptyDim 22 Jan - 11:52

La douleur la prend aux tripes, la jeune femme attrape son sac rempli de munitions et d’armes. Paranoïaque ? Si vous voulez ! Mais elle sait, elle sent que ce qui vient de lui arriver n’a rien de normal. La douleur trop forte, trop poignante, la force nouvelle qui s’en suivait. L’épuisement, ses yeux … Jetant une dernière fois un coup d’œil sur son reflet, elle fait la grimace. Deux pupilles entourées d’un violet foncé étrange, c’est à rien n’y comprendre. Ses cheveux châtains entourent son visage qui la rend plus jeune qu’elle ne l’est véritablement, ses cernes elles, la vieillissent brutalement. Elle cligne des yeux plusieurs fois, l’éclat part. Mais la couleur elle, persiste. La pièce trop blanche lui éclate les rétines alors qu’elle sort en douce, vérifiant qu’aucun garde n’est dans le coin. La maison blanche … Franchement, comment peut-elle se sortir de là sans se faire voir ? « Mademoiselle ?! ». Et voilà que la gouvernante la cherche partout aussi, putain ! Serrant sa mâchoire, elle attend que les pas de la femme s’éloignent. Cela lui semble être une éternité avant qu’elle ne savoure à nouveau le silence. « Ok ma vieille … ». Elle sert l’arme la plus précieuse dans sa main. Trop grosse et pas assez discrète. Plaçant l’arc dans son dos qu’elle cale à l’aide de son sac à dos, la jeune femme s’élance avec une facilité déconcertante, voyant l’éclat et la propreté des lieux sous un nouveau jour. Comme une mauvaise blague. Trois gardes passent alors qu’elle se cache derrière une porte, écoutant attentivement le son des talkiewalkies. « On a du grabuge dans le secteur trois et quatre, les gangs ont disparus comme par magie et les civils se dispersent. Faut vous manier les gars, là ! ». Levant les yeux au ciel, Abby lâche un sourire mauvais avant de se reprendre. Bon sang, qu’est-ce qui lui prend. Secouant sa tête pour se redonner des idées, elle fonce vers … La cuisine. La faim qui la ronge commandera toutes ses décisions s’il elle n’y met pas un terme. De la viande, il lui faut de la viande ! Et sans savoir comment, elle sait qu’il n’y a plus personne dans les couloirs, elle n’entend que l’écho de la télé qui passe en boucle dans la cuisine. Et sa voix qui résonne … « … s’affichera sur l’écran géant de votre …eur, ils … où …ler ! Suivez les fo… de l … rdre. ». Les forces de l’ordre … « Les forces de l’ordre, les forces de l’ordre … Mon cul, ouais. ». Non, Abby n’aime pas les employés de son père, aucun, peu importe s’ils sont direct ou non. Si l’un d’eux l’attrape, elle est bonne pour finir sur une table avec une étiquette sur le gros orteil ! ».
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Isabella Clark
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MessageSujet: Re: [Flashback] The Walking Dead - Multijoueurs. [Flashback] The Walking Dead - Multijoueurs. EmptyLun 23 Jan - 9:34

La télé toujours allumée se brouille un instant et de la neige apparaît, mais Bella n'y prête pas attention. Elle cherche un moyen de réveiller son ami, elle a même essayée encore une fois d'appeler les secours et tout ce qu'elle a récoltée est une voix bizarre que l'on entendait très mal au combiné Je r….ète, ceci n’est pas un exerci…! Elle a raccrochée aussi sec, pas le temps pour ces conneries. Si seulement Will pouvait ramener ses fesses ici plus vite que ça ! Quelque chose a la télé s'agite, la voix bizarre du téléphone se fait à nouveau entendre mais plus clairement cette fois et ça l'agace. Excédée, elle quitte un instant les côtés d'Aidrian et s'empare de la télécommande, prête à appuyer sur le bouton rouge mais... « A tous les habitants, je répète, à tous les habitants Américains ou autre citoyens venus d’autres régions. Tous les Civils doivent impérativ.. » Zuuuuiiiiif « se rendre dans la zone la plus proche ! » Quoi ? Qu'est-ce qui se passe ? Isa jette un coup d'oeil à son meilleur ami, toujours à terre quand juste à ce moment là débarque William « AID’ ! !!? ISA !!!? BORDEL, VOUS ÊTES OU ??? ON DOIT SE BARRER ET VITE ! » Elle le voit arriver, le regarde sans trop comprendre la télécommande toujours en main. Puis tout s'enchaîne. La télécommande tombe et le compartiment des piles saute en rencontrant le sol, la télé diffuse toujours le même message et elle court dans la salle de bain, jetant sa serviette au passage. « Tire le jusqu'ici, dépêche toi ! » Pas le temps pour les formalités du genre Oh tu vas bien ? Contente de te revoir. Elle sait très bien qu'une paire de claques ne suffirait pas à réveiller Aidrian alors autant employer les grands moyens pour partir vite d'ici ; une douche bien froide devrait faire l'affaire et tant pis pour le sol de l'appart ! Une fois Aid à porté de pommeau de douche, elle ouvre l'eau et l'asperge avec. « Réveille-toi s'il te plaît... »
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William S. Calagan
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MessageSujet: Re: [Flashback] The Walking Dead - Multijoueurs. [Flashback] The Walking Dead - Multijoueurs. EmptyLun 23 Jan - 13:04

Courant un peu partout dans l’appartement, William essayait tant bien que mal de trouver son frère et Isabella. Il ne mit pas vraiment longtemps à atteindre sa destination, sachant que ce n’était pas un palace qui se trouvait face au tout nouveau dévasté. Arrivant à destination, il voyait son frère au sol, à le voir, il avait l’impression de se retrouver dans la même situation il y a quelques heures de cela. Mais pourquoi les deux frères étaient victime de cette crise ? Si c’était bien la même chose qui était arrivé à Aidrian. Mais il n’avait pas le temps de réfléchir à tout ça. En plus de devoir sauver son frère, il devait faire vite, et prévenir Isa qu’ils devaient rejoindre ces camps qu’il avait entendu à la radio. Mais avant de pouvoir dire quoi que ce soit, la jeune femme prit les devants et donna les indications. Il fallait tout d’abord venir en aide à son frère. Il était hors de questions qu’ils partent sans lui, puis de toute façon, William n’avait pas vraiment envie de se retrouver seul avec cette fille. Ne voulant pas la contrarier, le jeune homme fit un effort et prit son frère dans les bras. Et à sa surprise, il n’avait pas vraiment de mal à soulever et porter son frère, ce qu’il n’arrivait pas forcément à faire en temps normal. Il sentait son corps changer depuis la grande crise de douleur qu’il avait eue. Et il trouvait ça limite effrayant de ne plus se reconnaître dans ses faits et geste. « T’es marrante toi… » Se contenta de dire simplement William face aux réflexions de celle qui ne se mouillait pas en demandant au seul homme encore debout de se bouger. Le posant dans la douche, William regarda sa montre, et voyait la foule s’agitait à l’extérieur. « Je te le laisse quelques minutes, je vais aller remplir des sacs avec de quoi se nourrir et d’autres choses. Si Aid’ se réveille, préviens moi ! » Et sans vraiment attendre une quelconque réaction de Isabella ou de Aidrian, ce qui n’était pas vraiment possible. Le jeune homme fonça dans la cuisine pour récupérer de quoi manger, et ce qui pouvait se conserver. Prenant des boîtes, des bouteilles d’eau, des allumettes, et quelques couvertures, il fallait faire vite et rejoindre les camps avant que tout cela ne se termine au plus mal. Une fois les sacs remplis, William alla charger sa voiture, le temps de faire un petit aller retour jusqu’à son véhicule, il espérait bien que Bella ne fasse pas n’importe quoi, Aid non plus au passage.
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Aidrian E. Calagan
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MessageSujet: Re: [Flashback] The Walking Dead - Multijoueurs. [Flashback] The Walking Dead - Multijoueurs. EmptyMar 24 Jan - 13:56

« HUNN ! ». Il glisse, dérape, bat des bras dans le vide et cogne ses coudes alors qu’il sent quelque chose de froid sur sa peau. Après quelques secondes de réflexions, Aidrian réalise qu’il s’agit de l’eau sortant du pommeau tenu par Bella. « Bllee… ». L’eau qu’il recrache a un goût dégueulasse de sang et de vomi, alors qu’il se lève tant bien que mal en sortant de la baignoire, se frottant les yeux. La lumière lui explose les rétines. « Super, merci … Je peux savoir pourquoi t’a fait ça ? Je préfère mon lit et une bonne bière ... ». Un grésillement, et il entend la télévision dans le salon, tournant la tête, écoutant alors avec curiosité. Ils captent pourtant très bien ici. « …les Civils doivent impérativ.. » Zuuuuiiiiif « se rendre dans la zone la plus proche ! ». Une urgence ? Y a encore un truc qui le gêne dans sa tête, il passe un doigt dans son oreille, agacé par le bruit qui ne s’arrête pas. « C’est quoi ce truc ?! ». Qu’il demande en fixant Bella, persuadé d’entendre une sonnerie. Soudain énervé, sans comprendre le pourquoi de cette saute d'humeur. Le bruit l'emmerde et ce n’est pas la télé … « Bella, qu’est-ce qui se passe ? Où est William ?! ». Il sent la peur de son amie à des kilomètres sans pouvoir l’expliquer. « AH FAIT CHIER ! ». La douleur lui reprend encore, ses côtes le démangent de l’intérieur. Un nouveau cri et il s’agrippe à la rousse, sa bouée de secours. « Qu’est-ce qui m’arrive ?! »
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MessageSujet: Re: [Flashback] The Walking Dead - Multijoueurs. [Flashback] The Walking Dead - Multijoueurs. EmptyMar 24 Jan - 21:07

Elle le remercie d'avoir amener Aidrian jusqu'ici et le regarde partir tout en continuant d'asperger le plus grand des frères. Voyant qu'il se réveille, elle ferme l'eau et se saisit d'une serviette pour qu'il puisse s'essuyer le visage et d'une autre pour lui sécher les cheveux du mieux qu'elle peut, les mains tremblantes. « Excuse-moi Aid, mais il fallait que j'te réveille et j'ai fait au plus pratique et plus rapide. » Elle l'attrape par un bras pour l'aider à se soulever, veillant à ce qu'il ne glisse pas. « Ce truc ? De quoi tu pa... » Bella le regarde sans comprendre, coupée par ses questions. « Il est vite partit mettre les sacs dans sa voiture j'crois, il faut qu'on parte. Tous les trois. » Les réactions du brun l'inquiète et la surprenne, son cri la fait sursauter. Il a l'air plus perdu qu'elle alors Isabella prend son visage entre ses mains et caresse ses tempes en lui parlant. « Je n'sais pas ce qui s'passe ici, ni ce qui t'arrive mais reste fort, tiens bon le temps qu'on atteigne ces..., le mot a du mal à sortir, camps avec ton frère. T'en fais pas, ils pourront certainement faire quelque chose pour toi là-bas ! Tout ira mieux. » Sa main remonte dans ses cheveux humides qu'elle ébouriffe avec un sourire, comme elle a l'habitude de le faire car elle les adore. Puis elle se souvient des mots de William et elle récupère son téléphone, compose son numéro avant de secouer la tête. « Allons rejoindre Will, il est inquiet pour toi. » La rousse noue ses doigts à ceux d'Aidrian et le tire doucement à sa suite pour sortir voir William.
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Evelyn R. Maclaine
Evelyn R. Maclaine
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MessageSujet: Re: [Flashback] The Walking Dead - Multijoueurs. [Flashback] The Walking Dead - Multijoueurs. EmptySam 28 Jan - 22:58

    En proie à une agitation grandissante, Evelyn écrasa avec agacement le klaxon qui se noya dans un concert de sirènes comme une goutte d’eau dans la mer. Les rues étaient encombrées de véhicules en tous genres qui gémissaient leur impatience sans jamais avoir à reprendre leur souffle. C’était la panique, un véritable exode qui s’improvisait. Dans l’air lourd et bouillant empesté de gazole, des cris et des pleurs perçaient parfois, aussitôt avalés pour le vacarme environnant. Les pneus de la Ford Focus crissèrent sur l’asphalte quand Evelyn vint se ranger sur le trottoir. Elle descendit à la hâte du véhicule avant de s’engouffrer dans ce qui avait été autrefois une chapelle. Depuis deux petites décennies, le bâtiment avait été transformé en un centre spécialisé dans l’accueil des jeunes enfants qui souffraient d’autisme. Il avait fallu de longs mois à Evelyn pour convaincre la directrice d’accepter son fils au sein de leur établissement, mais en voyant Aaron faire ses premiers pas de sa nouvelle classe, elle avait su que ses efforts ne seraient pas vains. Elle ne s’était pas trompée puisque très vite, Aaron, d’ordinaire timide et retranché dans ses émotions, avait montré un réel enthousiasme à l’idée de retrouver ses camarades chaque matin. Il semblait depuis bien plus épanoui - heureux même, s’autorisait-elle parfois à croire- qu'il ne l'avait jamais été auparavant.

    Le bruit de ses talons résonnait dans le vieux bâtiment tandis qu’Evelyn s’élançait en courant dans un corridor qu’elle connaissait par cœur pour l’avoir parcouru des centaines de fois. Autour d’elle, tout était étrangement silencieux, et la jeune femme ne put s’empêcher de penser qu’elle arrivait trop tard. Lorsqu’elle parvint enfin à la salle de classe où elle s’attendait à trouver son fils, elle se laissa gagner par l’effroi, et c’est chancelante qu’elle s’avança dans une pièce vide, abandonnée, où pourtant étaient restés les manteaux et les cartables. Sur les petites tables se trouvaient des dessins à moitié coloriés ainsi que des crayons de couleur sortis de leurs pots. Comme si les enfants avaient été arrachés à leur travail et forcés de partir à toute hâte. Le sang lui battait douloureusement aux tempes, et Evelyn avait beau s’exhorter au calme, elle n’était plus capable de mener à terme la moindre pensée un peu près logique. Rien de ce qu’elle voyait n’avait de sens. Tout semblait à ce point irréel que sa conscience refusait de concevoir ce qui était en train de se produire. Ses yeux se posèrent alors sur un cahier où une écriture enfantine avait commencé une phrase sans l’achever, et sans comprendre toute l'ampleur de ce qui était en train de se produire, elle eut l'intuition qu’elle resterait en suspens pour toujours.

    Parce qu’elle ne pouvait se résoudre à abandonner, elle se mit en tête de fouiller l’école toute entière jusqu’à retrouver son fils ou au moins un indice de l’endroit où on avait pu l’emmener. Elle commença par les salles de classes alentour mais il s’avéra que toutes étaient vides, comme désertées. Chaque fois qu’elle ouvrait une porte et découvrait une pièce vide, le désespoir gagnait du terrain. Elle se sentait à la fois brûlante et glacée, fiévreuse et toute engourdie. Mais alors qu'elle s'engageait dans un long couloir, un sanglot étouffé attira son attention. Au début, elle crut l’avoir rêvé ; seulement, lorsqu’elle tendit l’oreille, elle perçut de petits chuchotements, faibles mais distincts cependant. Tous les sens en alerte, elle s'avança avec précaution pour finalement s’arrêter devant l’entrée de la bibliothèque d’où semblaient venir les voix étouffées. Il y eut un moment de silence et d’immobilité avant qu’elle ne se décide à entrer.

    Une forme vaguement humaine se jeta aussitôt sur elle ; malgré les traits creusés et le regard devenus vitreux, Evelyn reconnut Mme Patterson, l’institutrice. « Evelyn, c’est vous, Dieu soit loué ! J’ignore ce qu’il se passe. Hugo, notre jardinier, est devenu complètement fou, il s’est mis à nous attaquer et… Seigneur ! On nous a dit de rassembler tous les enfants dans la bibliothèque en attendant les renforts, mais je ne sais plus quoi faire… » Emmitouflée dans plusieurs couches de laine, Mme Patterson avançait vers elle un visage blême où perlaient de fines gouttelettes de sueurs. Ses lèvres asséchées remuaient péniblement mais le pire restaient ses yeux qui avaient pris une couleur lactescente, comme si un voile les recouvrait. Alors qu’elle lui parlait, Mme Patterson s’approchait toujours plus d’elle, obligeant Evelyn à reculer petit à petit. « Est-ce qu’Aaron est là ? » s’enquit-elle en lui coupant la parole, et se disant elle se détourna de l’institutrice pour porter son regard sur les quelques enfants qui se trouvaient encore là. Ils s’étaient regroupés au fond de la salle, assis à même le sol, et formaient un cercle autour d’une fillette qui semblait mal en point. On l'avait recouverte de lourdes couvertures, et pourtant, elle continuait à grelotter.

    Aaron était là, lui aussi, et lorsqu’il la reconnut, il lui adressa un maigre sourire. Le soulagement fut tel qu’Evelyn se jeta sur lui pour le prendre dans ses bras. « Est-ce que tout va bien, mon Cœur ? Tu n’as rien ? » Et alors qu’elle le serrait contre elle, elle sentit son petit cœur cogner dans sa poitrine et faire écho au sien.


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Edward J. Wood
Edward J. Wood
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MessageSujet: Re: [Flashback] The Walking Dead - Multijoueurs. [Flashback] The Walking Dead - Multijoueurs. EmptySam 4 Fév - 3:52

Tout n’était plus que silence dans la rue où était venue s’échouer la Chevrolet noire. Un silence macabre seulement rompu par les sanglots lointains de l’homme qui venait de perdre son enfant s’entrecoupait à celui de la voiture qui produisait des gémissement d’outre tombe. Relevant son visage, les yeux rouges et le visage noircit par la poussière ou de fin sillon humide était venu tracé des lignes plus claires sur sa peau, Edward fixa sa Chevrolet d’un air perdu. Tout ceci était impossible, tout ce qui venait d’arriver n’était que le fruit de son imagination débordante. Non, tout ceci n’était pas réel, s’était la seule explication valable.
Sortant de sa torpeur par la douleur qu’occasionnait la plaie béante au niveau de son épaule, l’homme retira sa chemise tout en se relevant et s’approcha de sa voiture pour ramasser un des rétroviseurs qu’il avait perdu dans l’accident. Se redressant, il écarta le pan de son marcel qui venait frotter sa blessure, le faisant grimacer par la même occasion et examina les dégâts. Comme il l’avait craint, la créature sortie de nulle part avait bel et bien marqué sa chair de ses dents et si il s’en référait aux listes sans fins sur les zombies, il allait très prochainement finir comme eux. Il ne lui restait plus qu’une solution afin de résoudre ce nouveau problème. Choper le flingue qui trainait dans la boite à gants et se coller une balle au fond de la gorge.
Mais à peine cette idée morbide lui eut traversé l’esprit qu’une autre image s’imposa avec force. Amy. Il lui était alors impossible d’abandonné la tache maintenant car faire une chose pareil, une chose aussi égoïste, était condamné sa fille à une mort certaine ! Et il était sûr qu’elle était encore envie, il le sentait au plus profond de ses tripes.


***



Après avoir parcouru trois heures de route, ayant emprunté une voiture en chemin, la radio lui diffusant ce message d’alerte bien trop tard, il arriva au point de rendez vous et se gara n’importe comment, les flics bien trop occupé à calmé la foule pour se préoccupé des mauvais stationnement.

Il sortit de la Ford et fixa se rassemblement qui lui faisait pensé à du bétail, des hommes en uniforme plaquant d’autres hommes qui semblait prit d’une folie peu humaine. Des hommes qui, tout comme lui semblaient avoir été mordus. Claquant la porte avec force, il abandonna l’idée d’approcher des forces de l’armée et alla s’asseoir sur les marches d’une chapelle, resserrant sa chemise qu’il avait préféré remettre sur ses épaules afin de cacher sa blessure pour ne pas se faire repéré.
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